Pérou

Mancora, les plages de rêves

On arrive à 4h du mat, entre les gens qui nous propose des tours ou des moto-taxi, le fait, qu’on tente de trouver un taxi ou un uber pour aller à l’hôtel qui se trouve à 15 min en voiture et la pluie, en plus de notre réveil brusque…  Nous sommes devenus irritables. On veut un lit et dormir. C’est trop.

Après un long moment , un taxi se montra, mais le montant réclamé est au delà de ce qui est possible 60 soles, le prix de notre bus pour arriver là. Un des gars présent nous explique que la route est impraticable déjà en moto-taxi parce qu’il y a eu beaucoup de pluies les nuits précédentes. On refuse. Il faut savoir qu’au Pérou, il n’existe pas de conteurs aux taxis, , c’est plus une estimation au km, entre 0,85 soles à 1,50 soles. Nous calculions depuis le début, par temps de trajet, pour la facilité de calcul. 15 min de taxi = 15 soles. Vous vous doutez bien qu’on n’a pas envie de se faire arnaquer. Pourquoi serait-ce si cher.
En fin de compte, le deuxième taxi paraît plus raisonnable, malgré les 35 soles demandé.
Sur la route, on constate effectivement que la route n’est pas partout goudronnée et surtout pas lisse. Route difficile… On connaît ça en Belgique. Mais j’avoue… Pas à ce point là !

Arrivés à l’hôtel, la Peña Linda Bungalows, on se fait accueillir par quelqu’un qui nous explique qu’il ne sait pas nous fournir de chambre puisqu’on a réservé qu’à partir du lendemain, on voulait le faire mais il n’y avait pas de disponibilité. Il nous propose se poser nos affaires et de s’installer dans les canapés pour nous reposer.
Jen’arrrivais pas à dormir, j’ai décidé de finir mon article sur Chiclayo grâce au wifi de l’hôtel.

Au petit matin, je découvre un vue incomparable, qui me fît oublier les déboires des heures précédentes. Une mer bleue, des pélicans planant à un battement d’aile de la surface de l’eau, des martins pêcheurs plongeants dans l’eau pour pêcher, plein de petits oiseaux gazouillants dans le figuier de l’hôtel. Le bruit des vagues qui s’effondrent brutalement me laissent sans voix.

Vers 8h, nous sommes réveillés par le concierge, on nous propose le petit-déjeuné et de profiter de la piscine ou de la plage et de la douche cabine, le temps que notre chambre soit prête.

On fît laver nos vêtements, dévorons notre petit déjeuné. On se mis en maillots et nous passâmes notre matinée à la plage. L’eau était fraîche mais d’agréable température quand l’extérieure passait le cap des 30 degrés.

Imaginez que pendant ma brasse, des pélicans passent à moins d’un mètre de moi en frôlant l’eau, un moment juste magique.
13h, nous commandons notre déjeuné via une application connue, de part son logo vert, et nous nous installons à la piscine. L’hôtel en possède 2 séparées par un muret. La deuxième étant plus privée. Moment de détente absolue après nos périples.
Nous profitons aussi de réserver notre tour d’une demi-journée avec les tortues à Los Organos.
Notre chambre fût disponible et la surprise fût d’avoir un bungalow avec balcon face à la mer.
Le mode farniente est activé, moi, qui ne suis pas du genre à rester à la plage toute une journée, je me suis prêtée au jeu.
Résultat coup de soleil malgré une protection d’indice de 50… Mea culpa, j’ai beaucoup nagé.

Le soir, on tente de se promener à Mancora même, mais la pluie écourte notre promenade. Les rues s’inondent et s’engorgent, beaucoup de scarabées arrivent avec l’humidité. On se croirait dans une des plaies d’Égypte.

On fini par s’abriter dans un petit bar, pour prendre un maracuja Pisco sour avant de rentrer, un vrai délice.

Mancora est reconnue pour être une des plus belles plages du monde. Elle attire beaucoup de surfeurs grâce à ces belles grandes vagues. Mais la station balnéaire est très touristique. Nous avons de la chance d’avoir eu ce gîte qui se trouve loin du centre à Visayote qui est beaucoup plus calme.

Ninve,

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