La caldera de Bandama.

Hier, l’envie nous a pris d’aller voir ce fameux volcan. Bandama, avec son pic atteignant les 569 m faisant de lui l’un des plus récent pics de Gran Canaria. Âgé près de 2000 ans. La caldera, elle a quelques milliers d années au compteur. Lors d’une des dernières éruptions le pics à été créé sur le flan de la caldera. Possédant une végétation unique et ses rapaces. On retrouve aussi quelques maisons datant d’un petit siècle. Le creux de la caldera se parcoure comme un slalom sur les flans de ce volcan. 170 à 200 mètres d’altitude.

Ce matin là, avec le plein de motivation et d’entrain nous avons décidé d’y aller. Mais quelque chose à falli nous couper l’herbe sous le pied.
Une voiture faisant marche arrière, sortant de son emplacement à voulu nous arrêter en si bon chemin. Nous étions à l’arrêt, attendant que la voiture devant nous décide de s’engager dans le rond point. Ainsi, nous voilà heurté par la marche arrière d’un canarien qui nous aurait pas vu dernière lui, lors de sa manœuvre. Ça à valu, un contre temps, le remplissage d’un constat en espagnol svp, et un retour… Encore une fois à l aéroport, (encore une fois, puisque notre premier retour vers la société de location était le fait de se retrouver avec une astra mode paquebot immense pour 2 personnes qu’on voulait échangé….). Ainsi voilà notre chouette mini Cooper esquinté. Quelle galère ! Le temps de faire le nécessaire. Nous perdons près de 2heures.
J’avoue que personnellement, j’avais l’impression d’une journée gâchée, mais la motivation que m’a insufflé mon compagnon pour continuer notre projet de la journée à été bénéfique.

Après quelques recherches et une erreur d’emplacement, nous nous retrouvons près du pic de Bandama. Prêts à faire la descente dans ce que nous appellerons le gouffre du volcan. Un chemin, sur 10 mètre de pavés se transforment en un descente glissante sur le sable et la roche volcanique. Slalommant sur le flan de ce gouffre. Une bonne heure voir plus pour descendre et profiter de la vue, prendre des photos.

Nous savions que vers 17h, le portail devait de fermer. Il était à peu près 16h lorsque nous arrivions au point le plus bas. Après un petit tour des vieilles bâtisses et du champs fruitier, nous prenons le pas et une certaine cadence pour faire l’ascension de ce canyon. La monté fût éprouvante à cause de la chaleur mais encore assez facile pour nos muscles.
Arrivés en haut, nous remarquons qu’il était possible de continuer l’ascension en voiture jusqu’au pic, où nous avions une vue imprenable sur une partie de l’île. Une longue pause et un grand bol d’air frais était de mise avant le retour à la civilisation.

Ninve,